vendredi 11 octobre 2013

La longue traversé pour Chicago.

Réveillé à Cook, avant de prendre la route on fais une petite lessive. Aujourd'hui nous devons aller jusqu’à Cody la ville de Buffalo Bill. La ville de Cody, traversée par la rivière Shoshone, cette cité est sur l’ancien territoire des Indiens portant aussi le nom de Shoshone. La ville a été fondée par le célèbre Buffalo Bill, alias William Cody, d'où le nom de la ville. 
Pour y aller on passe par une route de montagne encore, le camper n'aime pas trop. Et nous non plus, tout ces virages c'est pas ultra agréable. Heureusement la vue est belle.


On arrive à Cody pour manger, on reste pratiquement toute l'aprem. On va jusqu'au musée de Buffalo Bill, mais il est trop chère pour nous du coup on ne visite que le gift shop. Le musée est composé de cinq sections remarquables sur les armes à feu, les Indiens des plaines, la faune et la flore de la région, des peintres américains et tout sur la vie et la famille de William Cody. On y trouve une grande collection de souvenirs de son célèbre Wild Wild West Show. Buffalo Bill était un soldat pendant la guerre de Sécession. Après une vie aventureuse, débutée à quatorze ans, où il participe aux guerres indiennes en tant qu’éclaireur et au développement du Pony Express, (c'est un service de distribution rapide du courrier aux États-Unis, en service entre le 3 avril 1860 et octobre 1861. Traversant les Grandes Plaines, les montagnes Rocheuses et la Sierra Nevada de Saint-Joseph, à Sacramento, ce système visait à sortir l'ouest des États-Unis de son isolement géographique) il entre dans la légende grâce à l’écrivain Ned Buntline qui raconta ses aventures. Son surnom provient du fait qu’il fournissait en viande de bison (buffalo en anglais) les employés des chemins de fer Kansas Pacific Railway et qu’il gagna un duel contre Bill Comstock en tuant 69 bisons contre 48 en une journée. Ils furent juste abattus pour le prestige des chasseurs. Les bisons consommés, par ailleurs, ne furent dépecés que de leurs flancs n'étant pas en contact avec le sol, évitant ainsi aux chasseurs de se fatiguer à les retourner.  De 1882 à 1912, il organise et dirige un spectacle populaire : le Buffalo Bill’s Wild West. Une tournée le conduit lui et sa troupe dans toute l’Amérique du Nord et en Europe. C’était un spectacle étonnant pour l’époque, destiné à recréer l’atmosphère de l’Ouest américain dans toute son authenticité. Les scènes de la vie des pionniers illustraient des thèmes tels que la chasse au bison, le Pony Express, l’attaque d’une diligence et de la cabane d’un pionnier par les Indiens, la présence de vrais Indiens constituant le clou du spectacle.

Ce soir on ne roule pas beaucoup, est on s’arrête pour dormir sur une aire de repos. Nous sommes de nouveau dans des endroits plus frais et moins élevè les moustiques sont de nouveau la. 


Aujourd'hui c'est l'anniversaire d'Alex. On prévois d'arrivé dans une plus grande ville pour aller boire un coup tous ensemble ce soir. On doit de nouveau traverser un montagne, celle de Big Horn. Aujourd'hui la route est longue le camper est de plus plus fatigué, la montagne il n'aime pas sa. Trois panne pendant le trajet, et beaucoup d’arrêt pendant les montée et les descentes, pour éviter de le fatigué.

Montagne Big horn

20h arrivé à Rapid City dans le Dakota du Nord. Nous avons enfin quitté le Wyoming. La soiré ce passe au bar, Alex reçois même des cadeaux, fabriqué pour la plus part. Super soiré. Ici les gens sont resté dans les année 90.

Réveillé assez tôt, le parking sur le quel nous sommes garé est plutôt bruyant et le chemin de fer n'est pas loin.  On va prendre un café dans un fast food. Puis on fais un tours dans la ville pour aller voir les fabuleux magasins d'antiqué et de brocante. Il y en a plein et ils sont tous gigantesque. Du choix en tout, plein de recoin à fouiller. On ce croirait dans le grenier d'une vielle maison où il y a plein de chose à découvrir. C’est super.


En milieu d'aprem on monte au mont Rushmore. C'est une sculpture monumentale en granite localisée à l’intérieur du mémorial présidentiel des États-Unis qui retrace 150 ans de l'histoire du pays. Les sculptures, hautes de 18 mètres, représentent quatre des présidents les plus marquants de l'histoire américaine. Il s'agit de gauche à droite de George Washington (1732-1799), de Thomas Jefferson (1743-1826), de Theodore Roosevelt (1858-1919) et d'Abraham Lincoln (1809-1865). Le mémorial couvre une surface de 5,17 km² et se situe à 1 745 mètres d'altitude.
Nommée Six grands-pères par les Amérindiens Lakotas (Sioux), la montagne fut rebaptisée d'après Charles E. Rushmore, un grand avocat de New York qui la remarqua durant une expédition en 1885. Lieu sacré pour les Amérindiens, le mont Rushmore fit partie intégrante de la route que le chef indien lakota Black Elk emprunta lors d'un voyage spirituel qui le mena au sommet du pic Harney Peak à proximité du mont.
Après toute une série de batailles dont celle de Little Big Horn (montagne traversé hier aprés midi) contre les Amérindiens de 1876 à 1877, les États-Unis, attirés par les richesses de l'ouest, conquirent le territoire qui appartenait aux Amérindiens depuis la signature en 1868 du Traité de Fort Laramie. La colline fut nommée mont Rushmore durant l'expédition d’exploration menée par Rushmore, David Swanzey (mari de Carrie Ingalls qui était la sœur de Laura Ingalls Wilder), et Bill Challis. Le projet de sculpture du Mont fut lancé pour attirer les visiteurs dans la région des Black Hills au Dakota du Sud. Il fallut 15 ans et 400 ouvrier pour sculpté les têtes des différents présidant dans la roche.Le coût total de l’œuvre s’éleva à 989 992,32 dollars. Il est intéressant de remarquer qu’aucun ouvrier ne fut tué lors de la réalisation de l’œuvre, ce qui est remarquable pour l’époque. Le mont est un sujet de controverse parmi les Amérindiens Lakotas car ceux-ci perdirent leurs terres à la suite de la guerre les opposant au gouvernement américain. Le traité de Fort Laramie en 1868 avait en effet laissé la région à cette tribu. Les Lakotas considèrent ces collines comme sacrées même si les historiens pensent que les Lakotas avaient également conquis la région précédemment par la force en chassant les tribus Cheyennes en 1776. Des membres des mouvements indiens occupèrent le monument pour protester en 1971 en le baptisant « Mont Crazy Horse ». Le chaman John Fire y réalisa une prière sur la montagne pour remémorer la promesse non tenue des Blancs suite à la rupture du traité. La construction d'un tel monument est choquant pour ceux-ci tout comme le serait la profanation d'une église chez les catholiques. Le monument reste encore de nos jours un sujet de discorde bien qu’un directeur d’origine amérindienne ait été nommé en 2004 à la tête du parc. En réponse à ce monument, un autre mémorial (« Crazy Horse Memorial ») est actuellement en construction un peu plus loin dans les Black Hills. Il représente le célèbre chef amérindien Crazy Horse et a pour but de montrer le caractère sacré de la région pour les Amérindiens. Cette sculpture, qui devrait dépasser en taille le Mont Rushmore, est financée par la fondation Crazy Horse Memorial Foundation. Celle-ci a refusé toute aide financière du gouvernement fédéral américain. Le sculpteur d'origine polonaise Korczak Ziółkowski, aidé du chef indien Henry Standing Bear, a débuté la réalisation de cette œuvre en 1948 après avoir acheté la montagne avec son argent personnel. Le sculpteur décéda en 1982 à l'âge de 77 ans sans voir son œuvre aboutie. Néanmoins, ses descendants continuent le travail qui pourrait durer encore cinquante ans selon certaines estimation    


Finalement voir ce monument est simplement impressionnant rien de plus.


Quand on repart sur la route un orage de chaleur éclate. Les éclaires sont rouge/rose et vraiment gros. On pose le camping car pour la nuit dans un champs, l'orage est toujours la, il va duré encore quelque heures.

Petit dej' dans le champs, c'est agréable, tellement calme. Aujourd'hui une autre journée route, c'est Morgan qui s'y colle.  On roule toute la journée, quand la nuit tombe on ce gare prés d'un camping pour une mission douche. Pirate de douche, c'est pas banale. On roule encore un peu avant de s’arrêter pour la nuit dans une aire de repos.

Nous voila dans la partie longue du voyage, aujourd'hui encore seulement de la route. C'est long et les paysage sont plats, rien de bien intéressant. Nous arrivons la soir dans la Wisconsin, encore un États de plus passé. On dort une fois de plus sur une aire de repos.

Ce matin quand on ce lève il fait chaud. Prés de l'air de repos il y a un jolie chemin qui mène à la rivière Mississippi. On trouve un point d'eau, on branche donc notre tuyau de douche pour ce laver. Passer un a un sous le tuyau au milieu du parking c'est drôle, heureusement c’est le matin il n'y a pas grand monde.
Encore 460 kilomètre à faire pour arriver à Chicago.
Arrivé 21h Chicago! Ouf!

On traverse la ville, les bâtiments ne sont pas trop grand, c’est la première vrai grande ville que nous croisons depuis Las Vegas. On trouve une place tranquille pour la nuit, et nous allons visiter. Les gens sont tous cool, et nous accoste, la ville vie et sa fais plaisir. Vers 1h je retourne au camper, les autres ce font inviter chez un vieux sculpteur.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire